Quand on pense “excès de sucre” en décembre, on pense immédiatement aux desserts.
La bûche. Les chocolats. Les biscuits. Les sablés de Noël.
Mais en réalité, le sucre qui fatigue le plus l’organisme pendant les fêtes ne vient pas toujours de là.
Il vient souvent d’endroits auxquels on ne pense pas du tout.
Et c’est ce sucre-là qui fait le plus de dégâts, parce qu’on ne le voit pas venir.
Pendant les repas de fêtes, le sucre se cache partout dans :
- Certaines sauces,
- Les pains et les brioches,
- Les amuse-bouches industriels,
- Les boissons “douces”,
- Les marinades,
- Certains plats salés censés être “équilibrés”.
On peut très bien manger un repas sans dessert… et pourtant provoquer un vrai chaos glycémique.
Pourquoi ?
Parce que le sucre caché est souvent associé à des farines raffinées, à des graisses de mauvaise qualité, et à une digestion plus lente.
Le combo parfait pour :
-
créer des pics de glycémie,
-
fatiguer le foie,
-
augmenter l’inflammation,
-
et générer cette sensation de lourdeur ou de fatigue après le repas.
La bonne nouvelle, c’est qu’il ne s’agit pas de supprimer, mais d’anticiper.
Anticiper, c’est par exemple :
-
ne pas arriver à table à jeun,
-
privilégier des plats simples en début de repas,
-
équilibrer un repas riche avec des aliments plus neutres,
-
accepter un dessert en conscience plutôt que subir du sucre toute la soirée sans le savoir.
Le but n’est pas d’être parfait.
Le but, c’est d’éviter l’accumulation invisible.
Parce que pendant les fêtes, ce ne sont pas les “plaisirs assumés” qui posent problème.
Ce sont les sucres cachés, répétés, inconscients.
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Et vous, quel aliment vous surprend toujours par sa quantité de sucre ?
Un pain ? Une sauce ? Un apéritif ? Une boisson ?